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Publié le par annepaingault

 A la télévision sous peu   : lettre d' une inconnue ...INCONTOURNABLE !A enregistrer cat trop tard

   en 2013 avec Mélane Laurent

A Vienne, au début du XXe siècle, sur le point de se battre en duel avec un mari trompé, Stefan Brand, un pianiste célèbre, reçoit une lettre d'une femme inconnue. Surpris et mal à l'aise, il apprend qu'il l'a rencontrée trois fois sans la voir ni la reconnaître vraiment. En fait, Liza Berndle était l'une de ses voisines. Adolescente, elle était follement éprise de Stefan. Mais celui-ci disparut sans même savoir le nom de celle à qui il a laissé un enfant...

ou dit autrement :

Accroche du livre "Lettre d'une inconnue"       

Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. L'être aimé objet d'une admiration infinie mais lucide. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie. La voix d'une  femme qui se meurt doucement, sans s'apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu'elle admire plus que tout. La voix d'une femme qui s'est donnée tout entière à un homme, qui jamais ne l'a reconnue."( évène) 


 

Version Redford 1974 (scénarisé par Coppola

Gatsby le magnifique est le 3ème roman de Francis Scott Fitzgerald, publié en 1925.

"New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu’une seule personne : Daisy Buchanan. Elle est élégante, riche, séduisante, mais elle est la femme d’un héritier millionnaire… Avec ce texte devenu un classique, Fitzgerald, sur un air de jazz et une coupe de champagne à la main, met à nu le Rêve américain et écrit l’un des plus beaux romans du XXe siècle, ici présenté dans la traduction de référence, par Jacques Tournier."

"Accueillie en son temps avec peu d'enthousiasme par le public et la critique, cette chronique désenchantée n'allait pourtant pas tarder à devenir l'œuvre phare de toute une génération, la « génération perdue » des rugissantes années 1920 (« roaring twenties »), celle des jeunes gens qui cherchaient à noyer leur désespoir né de la guerre dans le jazz et l'alcool de contrebande".

En ce moment au Festival de Cannes: nouvelle version


 

 

 

 

 

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